Luc Pradel est né en 1965 à Neuilly sur Seine. Son père et sa mère,

tous les deux issus de la prestigieuse Ecole des Arts Appliqués à Paris,

résident à Rueil Malmaison en région parisienne.

 

C’est là qu’ils reçoivent leurs amis sculpteurs, artistes-peintres,

illustrateurs, décorateurs et hommes de lettre. Dès qu’il sait tenir un crayon,

son père l’initie naturellement et sans complaisance, au dessin.

 

Luc Pradel vit dès son plus jeune âge dans cette atmosphère privilégiée

où l’art et l’imaginaire est en permanence au cœur des conversations.

Sa sensibilité et ses goûts artistiques vont dès lors connaître

un véritable épanouissement orienté vers les Arts Plastiques.

 

Pourtant à l’âge de 15 ans, c’est dans la musique qu’il va entreprendre

des études qui vont le conduire par la suite à travailler pour divers

et prestigieuses institutions culturelles :

l’Orchestre de Paris et l’Orchestre Régional de Cannes.

 

Pendant plus de vingt ans , observateur et acteur privilégié des circuits

de la création musicale, il va fréquenter d’immenses artistes :

Mitslava Rostropovitch, Lorin Maazel, Brigitte Engerer, Elena Baschkirova,

Gabriel Yared, l’écrivain Mareck Alter...

Toutes ses rencontres vont nourrir sa réflexion sur l’exigence,

l’intransigeance et l’engagement qu’implique tout travail artistique.

 

En 2003, il découvre l’Art Aborigène. La technique employée le subjugue.

Il la transforme, la réinvente, l’imagine autrement.

 

Nous évoluons dans son monde où se rencontrent l’Art Décoratif

de Gustave Klimt, les créations géométriques de Victor Vasarely

mais aussi une caractéristique de l’Art Aborigène : le Dot Painting.

 

C’est une profusion de motifs décoratifs entrelacés,

de formes géométriques aux perspectives vertigineuses,

d’une tonalité chatoyante et lumineuse.

 

En 2009, Le quotidien Nice Matin salue le succès de sa première exposition

au Palais de l’Acropolis et nomme sa technique : le Perlisme.